Sur les masques, le tri des malades, le Rivotril, les réponses vont tomber

Souhaitez-vous savoir si les mensonges sur les masques sont avérés et constituent le scandale national d’État de la décennie ? Pourquoi la grande distribution s’est retrouvée à vendre des millions de masques qui étaient censés être réquisitionnés par l’État ?

Souhaitez-vous savoir si on a trié des malades sur des critères discriminatoires comme l’âge et qu’on a sacrifié faute de moyens ceux qui devaient vivre et ceux qui devaient mourir sous ordre du ministère de la Santé puis de l’ARS Ile-de-France ?

A-t-on placé des résidents d’EHPAD suspectés de Covid-19 sous Rivotril par précaution ? A-t-on euthanasié des personnes âgées pour sauver des lits d’hôpital ?

C’est en tout cas ce que veut savoir le cabinet My Smart Cab, composé d’avocats œuvrant comme activateur de justice pour l’intérêt général.

Pour ce faire, le cabinet a annoncé aujourd’hui lors d’une conférence de presse assigner en justice plusieurs groupes et établissements clés de la gestion de la crise sanitaire. Parmi eux : la Direction Générale de la Santé, l’ARS Ile-de-France, la Haute Autorité de la Santé, l’AP-HP,  l’Agence Santé Publique France, la Direction Générale des Douanes, le groupe S.O.S seniors, l’EHPAD la Seigneurie, l’EHPAD Huguette Valsecchi, le groupe Leclerc et le groupe Carrefour en présence de monsieur Rémy Heitz, procureur de la République de Paris.

Selon My Smart Cab Le moment est venu de rassembler des informations, des preuves et de solliciter des expertises, notamment informatiques, qui permettront plus tard à des juges indépendants et impartiaux de prendre le temps d’écrire l’histoire judiciaire des oublis, des délaissements et des fautes civiles, administratives, voire pénales que les éléments rassemblés pourront contribuer à démontrer”.

Vous trouverez ici un extrait du référé probatoire du cabinet My Smart Cab :

Série 1  – Les  masques  –  Comprendre  le  fiasco  des  masques lié  à  un changement  de  «  doctrine  »  suivi  d’aucun  accompagnement  ou d’aucune vérification.  Comprendre  comment la  France  a  pu  tout à  la  fois  voir disparaître  cette  industrie  et  s’installer  volontairement  dans  une  situation structurelle  de  manque  de  masques,  ce  qui  a  placé  les  professionnels  de santé  et  les résidents en  EHPAD  ou  de  ESMS  dans  une  situation  de  risque voire de mise en  danger  de leur  vie.  Dans  le même temps,  vérifier  les informations  relatives  à  la  destruction  de  300  millions  de  masques  par  les autorités  publiques  et  à  l’apparition  opportune  d’autant  de  masques commercialisés  par  la  grande  distribution.

Série 2  –  Choix  thérapeutique  ou tri  des  malades  –  De  nombreux témoignages,  y compris  devant la  représentation  nationale,  font état  d’un  tri des  malades  sur  des  critères  non  pas  thérapeutiques  mais  discriminatoires (âgisme, validisme…).

Série 3  –  RIVOTRIL  et  euthanasie  compulsive  –  Là  encore,  un  voile pudique tente  d’être  posé  sur  la  vie  et  la  mort  dans  les  EHPAD  et  les  maisons de  santé  au  plus  fort  de  la  crise.  Certains  syndicats  dénoncent  l’injection  de RIVOTRIL,  un  sédatif  puissant,  afin  d’éviter  une  hospitalisation  jugée superfétatoire et entraînant  irrémédiablement  le décès  des  personnes soumises  à  ce  traitement,  sans qu’elles aient  donné  leur  accord  ou  sans que les  familles  en  soient  informées.  La  colère succède à  l’horreur  lorsque l’on apprend  que certaines  personnes  placées  sous  RIVOTRIL  étaient simplement  suspectées  d’être contaminées  par  le SARS-Cov-2.  Cette situation  met  en  évidence le manque de tests  qui  ont  conduit  certains professionnels  à décider  en  aveugle,  faute  de  certitudes  sur  le  diagnostic.

Le cabinet a choisi la procédure du référé afin de pouvoir récolter des réponses beaucoup plus rapidement qu’à l’aide d’une plainte standard. Cette procédure vise davantage à avoir des réponses qu’une sanction, même si selon les réponses, des sanctions pourraient alors survenir.

Rendez-vous à partir du 12 janvier sur ContribCity pour le résultat des premières confrontations, si la date est confirmée par le tribunal

5 réflexions sur “Sur les masques, le tri des malades, le Rivotril, les réponses vont tomber

  • 26 novembre 2020 à 21 h 59 min
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    Merci infiniment à vous pour toutes ces démarches. Nous avons tous besoin de la vérité 🙏

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  • 26 novembre 2020 à 18 h 07 min
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    Je suis tout à fait d’accord avec vous. Je me suis posée bien des questions à ce sujet.

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  • 26 novembre 2020 à 15 h 00 min
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    Il ne faut pas oublier, les journalistes mainstream dans leur ensemble, ainsi que les médecins de la mort, les Mengelé qui se sont succédés sur les plateaux pour diminuer les chances des français en interdisant et en diabolisant tout traitement précoce, qui ont pourtant démontré leur efficacité. La dissimulation de fait de nature à entrainer la mort de milliers de personnes devrait vider ces outils de manipulation mentale et les envoyer ad pâtres et c’est bien tout ce qu’ils méritent. seuls les personnels techniques de médias devraient etre épargnés, mais les rédactions dans leur ensemble de TOUS les médias de masse français et occidentaux, devront rendre des comptes, mais comme nous savons que ce ne sera jamais le cas, car entre pairs ils se couvrent les uns les autres, des Tribunaux Populaires spéciaux, les jugeront sur Place de Grèves, de chaque ville. La Guillotine appliquera immédiatement les peines exigées.

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  • 26 novembre 2020 à 14 h 49 min
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    L’euthanasie illégale en France, est permise dans un protocole strict. Accord du patient, de sa famille, du médecin traitant, et décisions prise en collégialité par un panel de médecins. Là c’est un décret de la mort, appliqué par des brigades sorties d’on ne sait où, sans aucun consentement, ni du patient ni de sa famille, ni du médecin de famille. Le mot euthanasie est donc une collaboration et une complicité de crime contre l’humanité, ce sont des assassinats, ou meurtres de masse qui dépendent du TPI et de la CPI. une longue chaine de responsabilité devrait amener des centaines de criminels sur l’échafaud.

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  • 26 novembre 2020 à 14 h 28 min
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    Je peux témoigner du choix de soins, mon père est décédé le 29 février 2020 d’une insuffisance cardiaque. Après avoir passé la journée à attendre aux urgences, il a été admis en pneumologie avec juste un peu d’oxygène comme traitement…

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