Sérénité

La très douce et jeune Ile d’Arz,
Jouant avec le feu sur l’eau,
Dans les lumières de l’aurore,
Majestueuse sérénité,
A Monsieur soleil, matinal,
Offre tendre virginité.

En de nobles et très beaux arts,
On voit de célestes doigts d’or
Briller sur les flots de Surzur
Et s’enflammer loin vers l’azur.

Puis ce soir, en un point final,
Après qu’il a baigné les rues
de Houat, Hoedic et du Palais,
De Belle-Ile où jadis j’allais,
De couleurs très vives et crues,
Après avoir brûlé Auray,
Messir dormira vers Conleau.

Mais tant que des rêves j’aurai,
Voguerai vers l’éternité.

 

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